Le marché du courtage en crédit est un des plus concurrentiels qui soient. De nos jours, il est difficile de se distinguer de sa concurrence simplement par son concept. Les franchiseurs et les franchisés courtiers en crédit le savent : les enjeux financiers d'un crédit privé ou professionnel sont tellement élevés que leurs clients cherchent par tous les moyens à s'assurer de la compétence de leur interlocuteur.
La marque n'est pas tout
Dans nos sociétés occidentales modernes, nous sommes saturés de marques : de la lessive aux restaurants, en passant par notre opérateur téléphonique ou les services bancaires auxquels nous faisons appel, nous associons plus la qualité d'un produit ou d'une prestation à un logo qu'à un visage humain. Que nous le voulions ou non, nous sommes conditionnés depuis le plus jeune âge à reconnaître les marques et à les considérer comme des entités à part entière. Dans le secteur du courtage en crédit franchisé, nous identifions l'individu qui nous propose un service à l'enseigne avec laquelle il travaille.
C'est la raison pour laquelle le rapport humain est primordial, et il ne faut pas s'étonner que les qualités humaines et le sens du commerce soient parmi les premiers critères recherchés par les franchises de courtage en crédit.
Le pouvoir d'une recommandation.
Mais la réputation et l'image de la marque ne se font pas tout. C'est d'ailleurs un revers de notre âge des marques : nous avons appris à discerner les motifs derrière les déclarations dithyrambiques des publicitaires. Au vingt et unième siècle, il ne suffit plus de clamer partout qu'une lessive lave plus blanc pour que la clientèle prenne ces déclarations pour argent comptant. Pour laver son linge comme pour obtenir un crédit professionnel ou privé, le consommateur cherche à obtenir des informations qu'il sait être fiables.
C'est ici que le bouche à oreille entre en jeu. Les ménages d'aujourd'hui recherchent les opinions de personnes de confiance. Si un coup de téléphone à un ami ou un membre de sa famille ne permet pas de se renseigner, on fait appel au web : c'est à dire aux moteurs de recherche et aux réseaux sociaux.
La décennie du bouche à écran
Le “ bouche à écran ”, ou plus rarement “ clavier-à-oreille ”, est le terme qu'on emploie pour décrire la propagations d'opinions sur une marque ou un produit au moyen d'internet. Il peut s'agir de critiques laissées sur un site marchand, de commentaires sur un blog qui traite du produit ou du service, ou bien des impressions du consommateur sur les réseaux sociaux. Beaucoup de Français ont également le réflexe de chercher sur les forums spécialisés et d'y poser des questions aux spécialistes du domaine qui les intéresse.
On l'imagine, le bouche à écran peut avoir un impact bien plus important que le bouche à oreille, mais également retomber comme un soufflé après à peine quelques heures d'échauffement des esprits sur Facebook ou Twitter.
La Rédaction, Franchise Courtage en Crédit ©